Exit la marque employeur, bonjour la marque employé.e ?

La promotion des valeurs de “bienveillance, excellence, capacité à se remettre en question”, la proposition d’un package “attractif”, des photos de collaborateurs le sourire aux lèvres, arborant leur sweat-shirt corporate : d’une entreprise à l’autre, ya parfois comme un goût de mi-michto - ou du moins - de déjà vu. “Les pages vitrines d’entreprises sont parfaitement polishées, mais représentent-elles réellement ce qui se passe en interne ?”, s’interroge Jeremy Tene, Head of People chez Jump.
Lui-même nous avoue être tombé dans le piège en intégrant la startup il y a 2 ans. Au démarrage, de manière un peu scolaire, il essaie de remplir le cahier des charges de la marque employeur idéale. Mais six mois plus tard, le décalage entre la réalité et la vitrine lui semble quelque peu absurde. “Nous étions une très jeune boîte, encore en train d’itérer sur nos rituels. Certaines personnes que l’on voyait en photos ou vidéos n’étaient même plus dans la boîte, et nos guidelines avaient évolué”, se souvient-il.

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